Je reviens sur ce que je disais dans ma dernière publication sur l'ancrage.

L’ancrage, c’est être là, revenir à soi, à cet instant que nous n’apprécions peut-être plus, pris dans d’innombrables obligations ou une routine qui nous donnent l’impression de vivre encore et encore la même chose.

Qu’est-ce que tu fais et ce pour quoi tu ne vois pas le temps passer ?

Ce mois-ci, en novembre, j’ai choisi de proposer un atelier d’Art Thérapie sur l’ancrage. (sur Patreon)

L’ancrage, déjà, est une notion que j’ai mis longtemps à comprendre et même lorsque la personne qui me l’a expliqué l’a fait, je ne comprenais pas toujours bien. À ce moment-là, j’étais en formation d’hypnose – oui je me suis formée à l’hypnose thérapeutique et moi-même quand j’y pense, c’est un peu fou – et la formatrice parlait souvent d’ancrage, d’ancre.

Bonjour bonjour,

Avant de continuer ce que je disais dans mon article précédent sur la couleur verte et avant ça, le jaune, je te remercie de me lire.

Ça me fait chaud au cœur même si ce n’est qu’un court texte.

Pour des textes plus longs, il y a les contes de Pleine Lune sur Patreon, avec un document à télécharger et à imprimer si tu préfères lire, autrement, le conte est disponible en vidéo – la vidéo est une autre de mes compétences que j’utilise aussi beaucoup pour communiquer -

D’ailleurs, j’explique rapidement en vidéo la nouveauté sur Patreon, dès ce mois-ci : écrire en Direct pendant une heure.

Hier, je parlais de la couleur jaune et de ses significations. J’ai hâte d’appliquer et de passer du temps avec ma petite fille pour découvrir ensemble quelles sont ses couleurs préférées et surtout, surtout, ce qu’elles évoquent pour elle.

En ce qui me concerne, pas d’émotions reliées à des couleurs – qui n’a qu’une lettre de différence avec douleur, as-tu remarqué ? – parce que les émotions, on n’en parlait pas, tout simplement.

J’ai trouvé que Carl Jung, père de la psychologie, s’était basé sur les travaux d’Hippocrate pour définir 4 tempéraments associés à des couleurs.

Le Jaune

Je suis heureuse de savoir que tu me lis et que quelque part, derrière ton téléphone ou ton ordinateur, tu es là, ça m'encourage à continuer.

Et cette fois, j'ai envie de parler de couleurs, ce que j'ai appris en formation d'Art Thérapie et que je trouve vraiment intéressant quand on a des enfants autour de soi.

C'est intéressant aussi pour soi mais ce nouveau point de vue permet de mieux comprendre certaines choses.

Allez, j’t’raconte une série parce que l’histoire des médias et du cinéma, c’est mon truc et que j’ai vraiment envie de partager mes réflexions par rapport à cette série danoise qui se passe en 1963.

A l’écriture de ce billet, j’ai terminé la première saison qui, comme les séries européennes, est courte : 8 épisodes et c’est bien aussi. J’ai moins l’impression que les producteurs ont demandé aux scénaristes de faire du remplissage pour absolument aller au bout des 20 et quelques épisodes.

Au moment de la rédaction de cet article j’expérimente un programme d’écriture quotidienne que 6 belles âmes - peut-être 7 - commencent dès cette semaine et pour tout le mois d'août.

Je me sens tellement heureuse lorsque je partage ma passion pour l'écriture et que je m'amuse avec d'autres écrivains, auteurs, autrices, romanciers, amateurs, amatrices.

Voici les bienfaits de l’écriture que j’aimerais aujourd’hui te raconter dans une sorte de saga de l’été comme ce qu’il en a été pour moi.

Tous concernés par l’impact des fictions !

Je me rends compte assez souvent que mes références restent cinématographiques ou télévisuelles lorsqu’un événement arrive ou que je lis une réflexion.

Exemple : mon ordinateur bugue au démarrage, quelqu’un me suggère de le redémarrer. Conclusion à laquelle je serais peut-être arrivée moi aussi et direct, je pense à la une série britannique The It Crowd (2006) qui raconte le quotidien de deux employés d’une société relégués aux sous-sols et qui sont chargés de la maintenance informatique. À chaque fois que le téléphone sonne, l’un décroche et dit « débranchez, rebranchez » qui est un gag récurrent. En y pensant, j’ai l’image de mon fiston et moi en train de regarder cette série avec délices. Je referme la parenthèse.

Cette référence serait-elle liée à une émotion, un sentiment, un ressenti, un « bon » moment, une espèce de nostalgie ?

Est-ce possible ?

Oui, il est possible de vivre sans être abonné.e à une plateforme de streaming, quoique Netflix est tellement entré dans le langage courant, que nous croyons qu’il n’y a qu’eux qui existent. À côté, il y en a d’autres et depuis peu Max, une plateforme qui a racheté la fameuse série Friends qui a cartonné dans les années 1990 et dont le succès semble intemporel – moi, j’ai grandi avec ces trentenaires assis sur le canapé d’un café nommé Central Perk (référence purement new-yorkaise) et mes enfants les connaissent aussi par cœur –